Lorsque le Général pose des actions de développement, ils disent qu’il n’est pas là pour développer le pays. Cependant, lorsque l’Électricité de Guinée fait son sport favori, ils disent que les militaires ne peuvent pas développer un pays.
Le problème de l’électricité, c’est le problème de nous tous sans exceptionaucune. Aucun dirigeant en particulier n’en est responsable. Nous avons tous échoué ! C’est pourquoi nous devons tous apporter notre expertise pour résoudre ce problème récurrent.
Sortez de vos incohérences impitoyables et venez discuter avec le Général Président Mamadi Doumbouya pour la recherche des solution aux problèmes de la Guinée créés par vos différentes gouvernance ! La haine de voir son adversaire politique réussir est un vice. La vertu consiste à procéder autrement. Le Général Mamadi Doumbouya ne doit pas échouer ! S’il échoue, c’est toute la Guinée qui aura échoué !
Il est bon à savoir que ceux qui s’agitent dans l’opposition ont tous eu une portions de pouvoir dans ce pays. Leurs gouvernances avaient été catastrophiques à tous points de vue et à tous les niveaux. N’est-ce pas pourquoi les principaux leaders politiques sont inquiétés par la justice guinéenne ?
Il va sans dire que le régime actuel fait un progrès non négligeable pour changer les conditions de vie de la population guinéenne. Les infrastructures sorties fraîchement de terre sont des actions à saluer et à encourager. Les routes, la cité ministérielle, les réformes d’envergure sont à son actif.
Les opposants qui ont la boulimie du pouvoir sont sérieusement gênés par les actions de développement du CNRD qu’ils ont échoué à offrir aux Guinéens. En réalité, ils ont peur de la réussite certaine que l’actuelle gouvernance est en train de réaliser. Il est clairement constaté que nos papas de l’opposition sont pressés pour aller aux élections.
Il est irréfutable que le général est un accélérateur de développement eu égard à tous ces progrès réalisés dans tous les secteurs.
Cependant, les patriotes doivent se donner les mains pour soutenir ce régime de l’espoir, celui de la dernière chance !